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Histoire érotique lesbienne : Je n’ai pas réfléchi et j’ai embrassé sa vulve
A l’époque où se déroule cette histoire, j’étais encore à la fac. J’habitais dans un foyer étudiant et devais partager ma chambre avec quelqu’un. Par chance, je m’entendais bien avec ma coloc. Une très jolie jeune fille aux traits fins, de petite taille et avec une taille de guêpe.
Soo venait de Corée et ne parlait que sommairement le français, ce qui ne l’empêchait pas de sortir trois à quatre fois par semaine. Elle profitait de sa liberté nouvelle à sa façon. Elle rentrait tard de ses escapades nocturnes, des fois pas du tout. Je la retrouvais en cours le matin, elle portait quelquefois les mêmes habits que la veille.
Soo avait de courts cheveux noirs comme ses yeux qui me fixaient intensément quand elle me parlait. Sa peau était très blanche, ses lèvres fines et rouges. Une beauté qui me troublait en silence. J’étais pourtant en couple avec un garçon à cette époque.
Un dimanche après-midi alors que je révisais un examen à venir, Soo est rentrée dans la chambre. Elle avait passé la nuit ailleurs mais semblait plutôt fraîche — comme à son habitude. Sa capacité à ne dormir que très peu sans pour autant ressembler à un zombi m’intriguait. Bref, ce n’est pas très important pour la suite.
Elle est donc rentrée et s’est allongée sur le lit. Je me suis remise à mes révisions. Mais j’étais troublée par sa présence. Je sentais son regard se poser sur mon dos. Je n’arrivais pas à me concentrer.
Soudain, Soo a dit quelque chose que je n’ai pas compris. Je me suis retournée, elle a répété mais je n’ai toujours pas compris. J’ai essayé de lui parler en anglais, mais mon anglais est très rudimentaire.
Elle a alors dit dans un français très approximatif : « Alexia, une seule langue à comprendre. »
Histoire érotique lesbienne : « Sa langue se mêlait à la mienne »
Je l’ai regardée d'un air interrogateur. Elle s’est levée et a posé sa main sur mon épaule. L’intensité de son regard m’envoûtait. Puis elle a juste dit : « Amour ».
Elle a pris ma main et m’a menée sur le lit. Elle m'a regardé et a dit : « Confiance à moi ». Elle s'est penchée sur moi et m'a embrassée sur la bouche. Je n’ai su résister. Ses lèvres douces frôlaient les miennes. Légèrement, lentement, sa langue s’est mêlée à la mienne.
Ses mains ont glissé dans mes mains. Puis elle les a lâchées aussi délicatement qu’elle les avait prises. J'ai mis mes bras autour d'elle, me suis allongée et l’ai tirée sur moi. J'ai écarté les jambes pour faire de la place. Elle s’y est engouffrée en m’embrassant. Notre baiser s’intensifiait. Nos corps se serraient l’un contre l’autre. Elle a posé ensuite ses mains sur mon ventre, les a glissé sous mon chemisier et m’a caressé la poitrine du bout des doigts. Mes tétons pointaient déjà vers le haut. Je sentais que mes lèvres s’épanouissaient dans ma culotte humide. Soo a retiré mon chemisier et mon soutien-gorge dans la foulée. J’en ai encore la chair de poule.
Elle m'a regardé comme si elle allait me dévorer. Elle s’est penchée sur ma poitrine et a passé sa langue sur mes mamelons qu’elle a ensuite mordillés.
« Attends » ai-je dit en riant parce que ça me chatouillait. J'ai essayé de me dégager d'elle mais elle a saisi mes poignets. Je riais en me débattant. Elle m’a finalement lâchée et s'est allongée dans l'autre direction, les jambes écartées sur le lit. Je me suis allongée à côté d'elle. Je l’ai embrassé en glissant ma main entre ses cuisses. Je sentais à travers son jean qu'elle était chaude.
Histoire érotique lesbienne : « J’ai senti la chaleur monter de mes reins »
Elle a retiré son jean, tiré sa culotte de côté pour libérer sa vulve. Pour la toute première fois je touchais un vagin autre que le mien. Ses lèvres étaient très humidifiées. J’ai joué avec pendant un bon moment. Elle se tordait de plaisir. Je suis montée sur elle, tout en continuant de la toucher. Puis j’ai retiré aussi ma culotte. A partir de là, je ne savais plus comment il fallait faire.
Soo a remarqué que mes mouvements, mes gestes, n’étaient plus aussi fluides. Elle a donc pris les choses en main. Elle m’a allongée sur le dos et est montée sur moi, mais à l’envers. J’avais son sexe devant les yeux. Je n’ai pas réfléchi et j’ai embrassé sa vulve. Elle a fait de même avec la mienne. Au bout de quelques minutes j’ai senti la chaleur monter de mes reins. Jamais un homme n’avait réussi à me faire jouir avec sa langue. Soo l’avait fait en quelques minutes seulement.
Soo s’est ensuite retirée, s’est allongée à côté et s’est mise à se masturber en me fixant. Je ne pouvais rien dire, j’étais épuisée, complètement épuisée. Je l’ai regardée se faire du bien toute seule jusqu’à ce que je m’assoupisse. Quand je me suis réveillée quelques minutes plus tard, Soo me caressait les cheveux. Je venais de vivre ma toute première histoire lesbienne…