- Blog
- Fétichisme lesbien : « Boire le lait d’une femme mûre »
Fétichisme lesbien : « Boire le lait d’une femme mûre »
J'ai une confession à faire. Je suis une jeune femme de 25 ans qui fantasmait sur un désir secret que j’ai pu satisfaire dernièrement : boire le lait d’une femme mûre. Je m'endormais tous les soirs en pensant au lait qui coulerait du coin de ma bouche, me masturbant et jouissant comme rarement. Voilà comment cela s’est passé avec une femme dont je tairai le nom.
Nous sommes sur le canapé. Elle abaisse sa robe et expose l'un de ses seins puis l'autre. Sans réfléchir, j’abaisse la tête au niveau de ses seins pour prendre en bouche son mamelon de femme mature. Je me caresse en feuilletant ma langue tout autour de ses magnifiques tétons. Sa main trouve doucement le bas de ma robe fleurie.
J’ai des frissons. Je continue de sucer, attendant la première goutte avec impatience. Je suce comme si je voulais la boire tout entier ! Elle gémit, respire de plus en plus fort. Je peux presque sentir son gémissement directement dans ma bouche et sur ma langue. Cela vibre en elle et en moi.
C’est alors que je sens une légère giclée sur le coin de ma bouche. J’en veux plus. J'ai besoin de plus. Je serre son sein un peu plus fort qui la fait gicler un peu plus. Elle me nourrit, me caresse en même temps, sa main est maintenant entre mes jambes, me taquine. À mi-hauteur de l'intérieur de ma cuisse, puis de nouveau jusqu'à mon genou, elle taquine d'avant en arrière, connaissant les points sensibles, presque mystiques que seules les femmes partagent si profondément.
Aventure lesbienne : « je retourne à ses seins pour goûter un peu plus de lait »
Ses mamelons sont durs et trempés, je m’abreuve de son lait alors que sa main joue à l'intérieur de ma cuisse comme si c'était la première fois. Nous nous embrassons à pleine, les langues errantes. Elle se « déguste » directement dans ma bouche encore laiteuse. Nous partageons son lait.
À ce moment, sa main touche le côté de ma culotte. J'ouvre mes jambes pour elle, puis je les referme sur sa main, l’emprisonne dans l'étreinte de mes jambes. Sa main joue maintenant avec ma culotte, avec l'autre elle commence à caresser mes seins un peu plus petits que les siens. Ses mains matures sur ma culotte et sur mes seins sont à la fois m’enivrent.
Je suce sa langue dans sa bouche, puis je retourne à ses seins pour goûter un peu plus de lait, et puis je reviens et je recommence. Enfin, sa main est à l'intérieur de ma culotte. Ses doigts entrent si doucement en contact avec mon vagin. Un doigt glisse doucement sur mon clitoris et redescend lentement vers mon anus, puis revient vers mon clitoris.
Sa main taquine maintenant de haut en bas ma fente. Je passe ma main le long de l'intérieur de sa cuisse et comme pour m'accueillir, elle ouvre grand sa chatte, fièrement pour que je joue avec son sexe mouillé. Je glisse maintenant ma main dans sa culotte, glisse mes doigts, puis ma main entière, sur sa féminité, la faisant frémir et couplant ainsi notre respiration. Son doigt pousse doucement et voilà, une phalange est en moi. Au fur et à mesure que cela progresse, je tâte son vagin. Elle est encore plus humide que moi. Mon doigt glisse directement à l'intérieur ! Elle gémit et nous nous léchons la bouche. Nous sortons lentement nos doigts pour les mettre instinctivement dans la bouche de l’autre.
Histoire lesbienne : « Enfoncer ma langue dans sa fente »
En quelques secondes, dans l’élan de l’excitation, nous nous mettons en position 69. Je suis sur elle- Ses jambes sont maintenant tellement écartées que je ne peux pas attendre pour enfoncer ma langue dans sa fente. Je la lèche partout, la mouille tout autour du sexe. À ce moment, elle me manipule, mes hanches, puis mes fesses, me dirigeant lentement de bas en bas sur sa bouche.
Nous embrassons, nous léchons, nous frémissons en concert. Sa langue va maintenant à mon anus et se déplace dans cette zone jusqu'à ce que je sente sa langue sonder mon anus qui la laisse entrer. Je fais des mouvements de bassin pour que sa langue pénètre et goûte mon endroit le plus coquin.
Je veux aussi y goûter. Son anus est déjà tout trempé, prêt pour que ma langue entre. Nous nous léchons toutes les deux pendant environ une demi-heure tout en travaillant nos vagins pour achever et prononcer l'apogée. Orgasmes à l'unisson alors que nous nous agrippons avec passion.
Vingt minutes plus tard, nous nous sommes toutes les deux épuisées, trempées de sueur, allongées, satisfaites. Nous nous embrassons. Nous nous étreignons. Se perdre dans les yeux de l'autre. Le goût de l’érotisme persiste encore en moi aujourd’hui.