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Histoire de sexe entre femmes : « J’étais déjà toute mouillée en bas »
Je voulais juste être avec elle. Je me fichais de cette foutue journée de travail qui venait de se terminer. Je me suis levée, j'ai fait mon sac à la hâte et nous avons quitté le bureau ensemble. Nous étions maintenant dans l’ascenseur. Par inadvertance, nous avons appuyé sur le bouton du premier étage en même temps et nos mains se sont touchées. Une sensation de picotement a traversé mon corps. Cela a commencé dans mon estomac et s'est terminé en bas. J'ai eu chaud et je pouvais sentir mon pouls battre plus vite. La porte de l'ascenseur s'est fermée et le voyage à partir du 20e étage a commencé. Je ne pouvais tout simplement pas la quitter des yeux. Je me suis perdue dans son décolleté. J’étais déjà toute mouillée en bas.
« Tout va bien, Anna ? Tu me regardes bizarrement »
Sa question m'a soudainement ramené à la réalité et j'ai remarqué ce que j’étais réellement en train de faire. Je la matais sans retenue. Mon visage est devenu rouge tomate et j'ai ressenti plus de honte que de désir. Je n'ai tout simplement pas pu trouver les mots. C'était tellement embarrassant.
À ma grande stupéfaction, Marie s'est approchée et a posé son index sur ma bouche. Mon cœur explosait presque.
« Ça va » dit-elle d'une voix douce.
Nous nous sommes regardées dans les yeux pendant un moment. Elle a laissé son doigt reposer sur ma bouche. J'étais de plus en plus excitée et j'avais le pur besoin de l'embrasser. Je n'avais plus rien sous contrôle. Mon corps est parti de lui-même et avant que je puisse l'arrêter, cela s'est produit. J'ai pris son index de ma bouche avec ma main droite et ai déplacé ma main vers son oreille gauche, ensuite ai tiré quelques cheveux qui s'étaient détachés de la tresse.
Histoire érotique lesbienne : « Avec de doux mouvements de hanche »
J’ai posé ma main sur l'arrière de sa tête pour la pousser lentement dans ma direction. Nos lèvres se sont touchées et nous nous sommes embrassées. Cet unique baiser s'est transformé en plusieurs baisers des plus passionnés.
L'ascenseur avait atteint le premier étage et la porte s'ouvrit. Ce n'est qu’à cet instant que nous avons éloigné nos lèvres. Sans rien dire, elle m’a pris la main pour me conduire hors de l'ascenseur dans une petite salle à l’abri des regards. Je l'ai suivie sans hésitation. J'ai réalisé qu'elle me voulait et que je la voulais aussi. Marie s’est dirigée précisément vers une salle de stockage. Quelqu'un avait certainement oublié de la verrouiller. Nous sommes entrées et j'ai fermé la porte derrière moi.
Marie m’a lâché la main, s'est assise sur la table et m’a fait un clin d'œil. Je me suis approchée d'elle d'un pas léger.
« Enlève tes vêtements avant de me rejoindre. Lentement. »
J'ai obéi et j'ai commencé à me déshabiller. Lentement. La première chose que j'ai faite a été d'enlever mes chaussures. J’ai déboutonné mon pantalon que j’ai enlevé légèrement avec de doux mouvements de hanche. Le regard de Marie s’était posé sur ma peau nue comme une caresse. Elle s’est mordu la lèvre inférieure en signe de désir et a passé doucement une main sur son cou. J'ai ouvert mon chemisier bouton par bouton en la regardant profondément dans les yeux. Je me tenais désormais seulement avec un soutien-gorge et une culotte devant elle.
Récit érotique lesbien : « Elle a mordillé ma culotte »
Je suis allée vers Marie dans un déhanchement, j'ai mis mon index sur son menton et j'ai poussé sa tête vers le haut. Je lui ai alors demandé si elle aimait ça.
Sans me répondre, elle a posé ses mains hâtivement sur mes hanches. Sa prise était si forte que j’ai grimacé brièvement. Elle m'a regardé dans les yeux et ses mains sont tombées au niveau de mes fesses et ont saisi mes joues de fesse aussi fermement qu'elle le pouvait. J'ai senti combien le plaisir montait en moi. Aussi vite qu'elle passait ses mains sur mes fesses, elles étaient soudainement reparties.
Elle s'est levée, s'est agenouillée devant moi et a tenu sa tête au niveau de ma culotte. Je savais ce qu'elle allait faire et j'ai senti mon pouls augmenter. Avec sa bouche toute entière, elle a mordillé ma culotte, la tirant un peu vers le bas pour avoir une vue de ce que j’ai de plus intime. Elle a mis un doigt brièvement sous mon nombril et l'a fait descendre sur mon ventre. Peu avant le but, il s'est arrêté, ce qui m'a rendu folle. J'ai enfin voulu le ressentir. Mon clito était déjà gonflé et prêt à accueillir les caresses de sa langue.
La suite la semaine prochaine.