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Histoire érotique lesbienne : Je lui suçais la langue comme j’aurais pu sucer un sexe d’homme
Une danse sensuelle de la langue et des lèvres avait commencé entre nous juste après le dîner pendant lequel nous nous étions dévorés du regard et n’avions pas arrêté de nous faire du pied avec l’impatience de deux petites filles. La bouche accrochée à celle d’Iris, je lui suçais la langue comme j’aurais pu sucer un sexe d’homme. Ses mains parcouraient mon dos, mes hanches, mes fesses, mes jambes, et mon corps tremblait de désir. Et mes mains ne purent s’empêcher de dévaler son corps.
« Si tu ne veux pas que j’arrose le sol de la cuisine de ma mouille, montre-moi ta chambre tout de suite », m’a-t-elle lancé.
En chemin pour ma chambre, nous ne pouvions pas arrêter de nous embrasser et de nous toucher. Nous avons fini par atteindre le lit tant bien que mal. Elle s’est allongée sur le dos, je lui ai sauté dessus et j’ai presque arraché ses sous-vêtements pour lui mordiller la chatte. Iris frissonnait, se tortillait, elle était trempée. Elle se débarrassa de son soutien-gorge comme elle a pu.
Cela faisait si longtemps que je n’avais plus été avec une femme. Iris prit ensuite le contrôle. Elle retira rapidement mes vêtements et me pressa contre les draps, plantant des baisers sur chaque centimètre de mon corps.
Iris me lécha et me mordilla partout. Elle m’inhalait, pressait son nez dans les petits plis de mon corps, suçait mes doigts et s’imprégnait de la sueur de ma peau salée.
«Je veux te goûter », dit-elle essoufflée.
Sexe entre femmes : « Pendant que sa bouche me dévorait »
Iris se fraya un chemin à travers mon corps qui se tortillait, s'arrêtant pour m'embrasser et caresser la courbe de mon ventre, mes hanches saillantes, ma peau soyeuse à l'intérieur de mes cuisses.
Mon corps était brûlant de désir. Au premier coup de langue, nous avons toutes les deux gémi. Une connexion profonde s’était installée entre nous. Nous nous sommes mises tête bêche pour que chacune puisse profiter de l’autre. Les lèvres de sa chatte étaient charnues et brûlantes. Ma langue glissait sur son sexe mouillé et humide, le goûtait, en découvrait chaque centimètre carré. Elle pressa encore plus fort sa langue contre mon clitoris qu’elle mordillait du bout des dents de temps à autre, tendit ensuite la main pour me caresser les mamelons et les tordre pendant que sa bouche me dévorait.
« Tu es tellement bonne » me murmura-t-elle.
Iris me caressa l’entrée du vagin avec ses doigts légers pendant que sa langue jouait avec mon clitoris tout rose et tendu. Ma chatte s'est ouverte pour elle, cette gourmande qui ne demandait qu’à déguster mon jus. Iris me lécha ma chair rose tendre pour la préparer, puis glissa deux doigts profondément. J’en fis de même.
Histoire lesbienne : « J’écoutais ses cris de luxure »
« Encore, encore, encore, encore, encore… », supplia-t-elle, les yeux au bord des larmes, la bouche grande ouverte, le souffle presque coupé par les bouffées de chaleur qui l’envahissaient à ce moment là. « Donne m’en plus », cria-t-elle dans un dernier souffle !
Je lui enfonçai alors un autre doigt, caressant les parois en profondeur dans sa chatte chaude. Le son de son vagin me donnait des frissons. Elle haleta de nouveau.
Je l’ai doigtée profondément et lentement avec trois doigts jusqu'à ce que ses muscles se détendent et que la sueur perle sur son visage et son dos. Mon Dieu qu’elle semblait aimer ça. De mon côté aussi je prenais du plaisir à ce qu’elle me touche, me lèche, me pénètre de ses doigts de fée.
Même avec la bouche pleine et les mains occupées, j’écoutais ses cris de luxure. Il y avait tellement de beauté dans sa voix.
Sexualité entre femmes : « Le plaisir ondulant comme une vague entre nos corps »
D’un seul coup, les muscles de la chatte d’Iris se contractèrent. « Oh oui ! » Grogna-t-elle alors qu'un orgasme inattendu lui brûlait le corps. Le rythme de ses doigts bégayait dans ma chatte mais elle continuait à me doigter bien que je sentais qu’elle se concentrait un peu plus sur elle et le plaisir que je lui procurais. Je me raidis de partout et poussai un cri à mon tour.
Nous avons frissonné ensemble, le plaisir ondulant comme une vague entre nos corps.
« Contente que je puisse te rendre heureuse », haleta Iris à bout de souffle.
Lentement, elle retira ses doigts de ma chatte, se mit à côté de moi et se laissa tomber sur le dos.
Allongée contre moi, elle m'embrassa, respirant fort contre mes lèvres écartées, ses yeux toujours brillants d'un mélange de désir et de satiété.